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idi DE LA HOÔELEBNDE. 113 contraint de lever le fiége, fit pluficurs mou- vemens pour furprendre les François, & le Maréchal de Schomberg n’en fit pas moins de fon côté pour prendre fes avantages fur les Allez. Enfin ces deux grands Généraux . défefpérant …
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114 ETY Huit fort oppofez. Les troupes eurent leur con- fé, mais comme il n'y avoit point de lieu marqué dans le Traité où on fût obligé de les faire embarquer, on les envoya traverfer plufieurs Provinces de France pour aller dans les Ports de Guiczze; & …
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n t Jl hr 7 T at D qn où or - Ba rA TOELPANXDE IS je côté à celui du Lieutenant Général du Quefe, & le Vice-amiral de Haan qui com- mandoit l'arriére garde Hollandoife s'enga- gea avec le Sieur de Gabaret. Le combat fut rude & dura jaíqu'à la brune. On …
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116 Lks DagxriCES en avoit aucun qui püt abfolument s'en van- ter. Tout ce qu'on en peut dire eft que vü l'inégalité des forces , & la perte qui fe fit de part & d'autre, l'avantage fut du côté des Hol- landoits. Le 9.le ro. & le 11. du mois on revitles …
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l DE LA ‘HO EL ANDE. tj je d’Augafla, qui ne put réüfir, parce que les Efpagnols avoient mal pris leurs mefures. On étoit néanmoins encore dans la baye, lors. qu'on recut avis que l'armée navale de Fran- ce étoit {ortie du port de Meffine, & qu'elle …
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118 likgos IE A Loo Es taille des Efpagnols fe tint fous le vent , & fe contenta de canonner de loin: mais le plus grand défordre qu'ils cauférent fut d'emp£- cher que le Vice-Amiral de Aaan qui les fui- voit, n’aprochât aflez tôt. Ainfi l’efcadre de …
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lt Qi de t fre D E.:L;A , H Q CLAMNDE. m9 augmenta beaucoup le lendemain. : Dès le matin on découvrit encore de deffus les hu- nes l'armée de France qui fe retiroit à Mef- fine ; mais le gros tems qui avoit empéché qu'on ne la pourfuivit le foir …
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120 Lgs:DEgrtriddtrs reçut point de dommage: il fembloit que la guerre refpeétât encore le tombeau flotant de ce grand homme , qu’elle avoit élevé pendant ía vie à un fi haut degré d'honneur & de gloire. Le Vice-Amiral de Haas & le ' Contre-Amiral …
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= SEC AA um Dr. Hoe dE. Du mouvement, le Maréchal d'/Zzéres fem- bla vouloir inveftir Moss. Mais incontinent après cette feinte, le Maréchal de Luxer- bourg alla mettre le fiége devant Valenciennes, où le Maréchal d’AHumiéres fe rendit auffi. Tandis que …
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122 Lrs D&gftricrs ce même jour-là reçut un renfort de neufba- taillons de l’armée du Roi, alla le lendemain, qui étoit le 11. du mois, au devant du Prin- ce, & ayant d'abord délogé fes troupes qui étoient poftées dans les hayes, les mena ba- tant jufqu'à …
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f liy Y ; q à} t 2 il IN i Qr [ui api tou mo pr ut DELA :HO@LAMAN DE. 13 nouvelle, le Marquis de Louvois fe rendit promtement en Flandre, où il forma unear- mée de 40000 hrmmes des troupes qui y étoient. Cette armée s'étant poftée entre Charleroi & …
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124 LÆs:iD EL: CES du Prince. On en fit des réjoüiffances pu- bliques dans les Provinces-Unies , oü l'on æfpéroit qu’en confidération de cette allian- ! ce la Cour d'Angleterre prendroit des fenti- mens plus favorables pour la République, qu'elle n'avoit …
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Our & lt [ y tb futnl eur, DE.LA HLOTLAX4DE I folutions qui avoient été prifes en Angle- terre. : Comme elle favoit que la plüpart des Hol- landois étoient las de la guerre, elleentreprit de faire une paix particuliére avec eux, afin de.lier les mains aux …
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126 LES ocGDELICES roit toüjours-un grand - poids. aux. affaires, puis que la feule crainte que la France en a- voit eue , l'avoit obligée de retirer fos; troupes & fes vaiffeaux de /Meffize. Mais les fenti- mens de ce Prince ne purent rien contre le …
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A. DPag.126. TT. T iti 4 HH i Pide SR os X S S EQ € À 7 STATS 286 …
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pP Vilniaus ! Universiteto Bibiioteka …
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TEE D:ns:dieüurAepE ij rer dés qu'ils le virent paroitre, mais ils ne parent y réülir. Le Duc de Luxembourg avoit fon quartier à l'Abaye de Sazzr. Denis, oü il étoit fort avantageufement pofté. Les Dragons ayant été commandez pour aller at- taquer ce …
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128 lLm-s DEÉELLIGCE:S les Princes 4! Allemagne , ils ne pouvoient d'a- bord fe réfoudre à quitter les armes , ni à traiter à des conditions qui leur paroiffoient trop dures: mais enfin aprés y avoir müre- ment penfé ,ils (uivirent l'éxemple de ia Hol- …
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DE Lt À 1 QGÉÉL AN DE. 139 Au commencement de l’année 1680, le Maréchal. d'/Zumiéres étant dans le Pais conquis, Ooü.il:y avoit quantité de trou- pes, ménaga le Duc de Willa-Hermofa d'envoyer fagcager & bruler les Terres d' Ef- pagne. Ce Duc qui n'avoit …
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130 Lies D E EN CES damnez par des Juges tous Sujéts du Roi de France, & établis de fa feule autorité. Ce- = pendant il n’y avoit point de Tribunal oà l'on püt fe pourvoir contre ces procédures : il n'y avoit qu'à fubir la loi du plus fort. Par cette voye …
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DE LA HOÓTI^AWDE íi plaignoient à la Cour de France de ce pro: cédé inoüi & des hoftilitez qu’elle faifoit commettre en pleine paix, auxquelles ils di- foient qu'on fe verroit enfin obligé de s’o- pofer par la même voye, les Etats Généraux cherchèrent les …
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132 Les DELICES I1 fe fitauffi une Affemblée à Frascfort pour éxaminer l'affaire des Rézizions faites & à fai- rc en Allemagne. Mais pendant que par la lenreur ordinaire des Allemans, & par les ar- tifices des François, cette Affemblée n'avan- coit rien, …
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ооаобааоааоаооаоаооаоаоооаоаоаооооооооа ESTETINĖS MINTIES RAIDA LIETUVOJE 1770—1832 M. (Dailės teorijos požiūriu) V. DRĖMA Amžiams bėgant, meninė kūryba kaupia vis didesni paty- rimą, kuriuo remiantis, galima daryti išvadas apie atskirų kūry- bos …
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pyba, skulptūra, architektūra, taikomosios dailės šakomis. Aiš- kindami estetinius žodinės kūrybos dėsningumus, lektoriai daž- nai remdavosi vaizduojamosios dailės pavyzdžiais, kaip aki- vaizdesniais, konkretesniais, įtaigesniais, pagal populiarų …
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kauskiai ir kiti, ir šiuo laikotarpiu tęsia mMecenatavimo tradi- cijas. Kiekvieno jų estetinė kultūra, meniniai pomėgiai, išsi- lavinimas ir toliau neretai sąlygoja dailės vystymąsi. Savo estetinį credo jie reiškė ne raštu, o veiksmais. Pasigendame šių …
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Šiuo atžvilgiu tipiškas to meto Lietuvai estetinių minčių reiškėjas buvo PRANCIŠKUS KSAVERAS MYKOLAS BOGU- ŠAS (1745.1.1—1820.IV.16), kilęs iš smulkiųjų Ukmergės apskri- ties bajorų. Mokėsi Vilniaus jėzuitų akademijoje ir buvo jė- zuitų ordino narys, kol …
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svarbiausia, padėti jiems susiorientuoti meninių vertybių hie- rarchijoje, kelti jų estetinę kultūrą. K. Bogušas nelaikė savęs dideliu dailės žinovu, todėl skaitytojui, kuris norėtų giliau pa- žinti kurio nors dailininko kūrybą ar suprasti pavienių archi- …
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rališkosios ligoninės namus, papuoštus ispūdingomis alegori- nėmis skulptūromis ir turinčius puošnius fasadus, konkuruojan- čius su reprezentaciniais karalių rūmais. Apie Romos šv. Petro baziliką jis sako, kad jos „fasadas daugiau tinka pasaulietiš- kiems …
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daugiau pažįstamas, populiaresnis, o paskui pereina prie naujo estetikos ir meno reiškinių supratimo, kurį atnešė klasicizmas, ir, juo remdamasis, supažindina su „amžinais“, „klasikiniais“ vertinimo kriterijais. Dailės ir architektūros kūrinių aprašymuose …
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Baroką, panašiai kaip ir gotiką, jis traktuoja diferencijuo- tai. Žavisi barokinių pastatų monumentalumu, puošmenų ir jų elementų turtingumu, spalvingumu, ritmo darna, ypač jeigu ji aiškiai, struktūriškai išspręsta. Patinka jam pakili, iškilminga nuotaika …