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entreißen, Gleich den unftäten Wellen de5 Meord wechfel- ten im flachen und bloßgeftellten Lande Vortheile und Un- fälle. Doc allmalig wurden die Umftände in diefem lan- gen und beharrlichen Kampfe mißlicher, und Die anfangs heitern Ausfichten von allen …
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36 Ruhe feiner Mutter zu flören. Am sten September 1770 traf Sriedrih IT. zu einer abermaligen perfünlichen Zufam- menkunft mit Iofeph in Mährifch-Neuftadt ein. Dafelbft erfchien aud der alte Kaunis, dem Friedrich zwar nicht gewogen war, ihm aber mit …
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7 Eonsti’s und um die Sicherung feiner eigenen Perfon Die Kaiferin fandte an Wolkonski’s Stelle Saldern, einen Mann von Außerft heftigem Charafter, dem jedoch eine in Anfehung der Bewegungen der Nation gelinder abgefaßte Inftruction ertheilt war. Er hatte …
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38 ftadt ein, von welcer ftarke Ruffiihe Vorpoften- die Un: tuhen des Kriegs entfernt hielten. Pulamwsfi aber wandte, der Abrede gemäß, durch verfchiedene Bewegungen die Auf- merkfamfeit der Ruffifchen Truppen von der Hauptftadt ab. Am 3ten November 1771, …
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39 begann ein langwieriger Prozeß. Ein edles Gemüth gefteht in feiner erften Bewegung gern die volle Wahrheit. So nahm fi auch Pulawsfi, da er zur Unterfuchung gezogen ward, vor, durd eine dffentlihe Schrift jene Sache nad) ihrer wahren Befchaffenheit zu …
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tellen vor. Zu gleicher Zeit erfchienen gelehrte Auseinander feßungen der Rechte Defterreihs und des Brandenburgifchen Haufes auf diejenigen Kandestheile, deren Befißnahme Beide N beichloffen hatten. Diefe Deductionen wurden von Loyfo geumdlich widerlegt, …
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41 fen, Bruder des Königs, während feiner Anwefenheit in St Petersburg, in Anregung gebracht haben. Der St. Pe= tevsburger Hof lehnte e$ anfangs ab, willigte aber nachher, durch die Umftände bewogen, ein. Friedrich II. erklärte es für billig, in Polen …
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42 tersburg die Gejandten Rewißki, Benoit und Stadelberg, in Warfchau. Aus dem Anlaffe, weshalb fie zufammenfamen, ift leicht zu erfehen, wie bedauernswerth damals die Lage der Ne publif war. Der zu Braunau in Baiern verfammelte Ue berreft der …
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409 in der Berweilung feftgehaltenen Senatoren aus, und drang auf Verfammlung des Neichötags. Der König berief den Senat. Kaum fieben und zwanzig Senatoren ftellten fic) ein; diefe erklärten fich, ihrer geringen Anzahl wegen, fin unbefugt, mit den Höfen …
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Theilung und wider den Reichstag, ald eine nicht freie und Daher ungültige Zufammenkunft. Viele Landtage verfam- melten fich ganz und gar nicht, zwei und dreißig derfelben wurden abgebrochen, und viele gingen aus einander, ohne zur Wahl der Landboten auf …
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ge — CHAPITRE XU, — 87 On peut remarquer pour achever ce tableau , qu'une influence unique a soutenu les duels judi- ciaires pendant toute leur durée , celle de l’aristo- cratie; qu’une influence unique les a combattus et à fini par en triompher , celle …
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88 — HISTOIRE DES DUELS. — s’en sont occupés. Ce dernier est Pauteur d’un traité spécial qui a pour titre : De singulari certa- mine. On cite encore parmi les écrivains de la même nation qui ont écrit sur ce sujet, le napo- litai Mutio, Pozzo, Paris de …
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— CHAPITRE XII. — 89 de Goliath. En général ils vantent cette institution et prétendent même lui créer une noble et antique origine , en cherchant à grands frais d’érudition des précédens dans l’antiquité la plus reculée. On en a vu quelques-uns remonter …
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90 — HISTOIRE DES DUELS. —= recherches les plus savantes et de la plus judicieuse critique. C’est son ouvrage même qu'il faut lire pour bien apprécier l’esprit de l'aristocratie et du clergé, ainsi que l'influence exercée en sens contraire par ces deux …
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— CHAPITRE XII, — 91. intolérance justement reprochée aux ecclésiastiques de ce temps, et dont Montesquieu a eu plus d’une fois personnellement à souffrir (139). Au chapitre VIT qui précède, j'ai rapporté avec une scrupuleuse exactitude divers trails qui …
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92 — HISTOIRE DES DUELS. —« mêmes qui y donnèrent lieu en grande partie. » Je supplie qu’on lise attentivement dans Montesquieu lui-même la suite de ce chapitre, et l'on verra que s’il a prouvé quelque chose, c’est précisément tout le contraire de ce …
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— CHAPITRE XI. — 93 tation , une partie produirait une charte et que l'autre soutiendrait qu’elle était fausse , l'affaire se déciderait par le combat; que les églises seraient sujettes à la méme loi, et qu'elles combattraient par leurs champions. On voit …
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94 — HISTOIRE DES DUELS, — siastiques; ce qui contribua sans doute beaucoup à les faire tomber, et à affaiblir la disposition des codes des lois des barbares à cet égard. » Quoi de plus décisif, quoi de plus honorable : . : : : pour le clergé de France …
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— CHAPITRE XI. — 95 Or, le clergé trouvait un bien moindre mal à courir cette dernière chance. La noblesse de son côté re- vendiquait le meurtre. Qui avait tort ?.…... C’était le clergé, ont dit les seigneurs, et aprés eux Mon- tesquieu , ce qui est bien …
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96 — HISTOIRE DES DUELS. — Voilà je pense une confirmation bien complète des divers points posés plus haut dans l’intérét du clergé. JL tint ferme long-temps ; il fut enfin forcé de céder à l’ascendant de la noblesse qui conserva le combat comme son …
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d — — CHAPITRE XI, — 97 eu auparavant une constitution de Lothaire L°*, fils de Louis-le-Débonnaire, qui, sur les mémes plaintes et les mêmes démélés, voulant assurer la propriété des biens, avait ordonné que le rotaire Jurerait que sa charte n'était pas …
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98 = HISTOIRE DÉS DUELS, — aux maitres d'armes ; et ©’ st de la plume qui a écrit l'Esprit des Lois , que s'est échappée cette phrase Le mal restait toujours, il fallut en venir au remède, qui était le combat ! !. On retrouve du reste le génie de …
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CHAPET RE SDL Deuxième période. — XVI: siècle. — Prohibition des duels.— Du duel proprement dit, ou duel volontaire, Le 16.° siècle se présente pour fermer la lice du moyen âge. Il fut une transition entre le siècle suivant, illustré par le magnifique …
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100 — HISTOIRE DES DUELS, — encore péniblement jusqu'au milieu du 16. siècle. Vers cette époque un événement immense arriva. Î en est résulté dans l’ordre moral une de ces grandes secousses que produit dans l'ordre physique, lé- ruplion d’un volcan. On …
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— CHAPITRE XIE. — 101 On aimait tellement les duels que ne pouvant tou- jours s’y livrer en réalité, on en avait adopté une fiction, on en avait imaginé un jeu qui fit long- temps fureur. Tout cela disparut avec les derniers vestiges du moyen âge. La …
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102 — HISTOIRE DES DUELS. — actes de violence de toute espèce étaient trop dans les mœurs et les habitudes , pour qu’on püt absolument s'en passer. Aussi ne tardérent-ils pas à reprendre plus de vogue que jamais. Et comme la justice n’in- tervenait plus …
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— CHAPITRE XII. — 103 Les chroniques et les mémoires n’ont guëre recueilli que ce qui se passait dans la capitale. Des actes de violence de tout genre désolaient en même temps les provinces. Mais comme on n’en parlait que dans la localité qui en était le …
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104 — HISTOIRE DES DUELS. — Cette époque est pourtant celle des premiers édits contre les attentats à la sûreté des personnes, On vit alors les souverains commencer à s'occuper un peu sérieusement de la police de leurs états et à pourvoir, par quelques …
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— CHAPITRE XI. — 105 rois nos prédécesseurs seront entiérement gardés et observés, tant contrelesprincipaux auteurs que ceux qui les accompagneront, pour quelque occasion ou prétexte que lesdits meurtres puissent (tre commis , soit pour venger querelle où …
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106 — HISTOIRE DES DUE 8. — En vérité, je n'ai su long-temps quel nom donner à une pareille époque ? Il me paraissait difficile de placer au 16.° siècle le commencement de la deu- æœième période de l'histoire des duels en France, celle des prohibitions , …
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